Glatfelter, le nom vous est certainement familier ! Depuis son établissement à Gatineau en 2010, la compagnie connait une croissance de plus en plus fulgurante grâce à sa bonne gestion, et l’implication de passionnés employés. Leader mondial dans le domaine du papier, Glatfelter nous a permis d’aller à la rencontre de Kevin Barnes qui occupe le poste d’électromécanicien à l’usine.
Jeune et rigoureux, Kevin est un passionné de l’électromécanique. Après avoir terminé ses études professionnelles dans un programme de 1 800 heures, il s’est mis à la recherche d’un emploi pour mettre en œuvre ses compétences. C’est ainsi qu’il a fini à décrocher son emploi de rêve à Glatfelter en 2017, après quelques années tumultueuses professionnellement.
Le rôle d’un électromécanicien chez Glatfelter
Dans une industrie automatisée, les machines occupent une place centrale. De ce fait, comme le soutient Kevin : « À chaque ouvrage, mon travail est de faire en sorte que la machine ne s’arrête pas. Le but ultime de cette usine est de faire du papier tous les jours de l’année donc je suis tenu d’assurer le fonctionnement continuel des machines ».
Un environnement de travail sain et propice au développement personnel
Les employeurs ont la responsabilité d’instaurer un environnement de travail sain et propice au développement personnel des employés, mais aussi à leur épanouissement. Cet état d’esprit, Glatfelter l’a compris depuis son implantation à Gatineau. Et, comme l’a si bien dit Kevin : « dès mon arrivée à l’usine, j’étais vraiment excité du cadre de l’usine et du niveau de la santé et de la sécurité. Le milieu est bien géré et syndiqué avec des produits difficiles à remplacer dans le marché. Avec les possibilités d’avancement qui s’offrent à nous, c’est un bon milieu pour faire ma carrière ».
Un message pour les jeunes qui vous lisent ?
Avec une belle carrière devant lui, Kevin, qui est dans la vingtaine, sensibilise ses pairs à ne pas hésiter : « si vous êtes jeunes, ce métier regorge tellement de possibilités d’emplois avec de bonnes conditions de travail. Les industries s’automatisent de plus en plus, et la formation n’est pas longue, en plus ça rend débrouillard sur bien des choses dans la vie. »